entraînement (Clos)

Nadiane se dirigeait vers la salle d’entraînement en chevauchant Valawna, sa licorne, et avait faussé compagnie aux gardes qui devaient l’accompagner, jamais aucun de leurs chevaux ne parviendrait à dépasser une licorne. Au début elle les entendait crier de les attendre et de ralentir, maintenant elle n’entendait plus rien.
Nadiane portait aujourd’hui une petite jupe qui lui arrivait jusqu’au dessus des genoux et un dessus, on pourrais le comparer à une armure, mais fait pour une femme. Nadiane avait besoin d’apprendre le maniement de l’épée. Elle ne s’en sortait pas trop mal durant le combat, mais d’habitude ça se terminait toujours de la même manière : elle se retrouvait à terre, désarmée et son maître d’arme gagnait le combat.
Enfin, Nadiane s’arrêta devant la salle d’entraînement, c’était une sorte de grande maison faite de pierres et de bois, le toit était solidement construit en tuiles et également en bois, une grande porte principale menait à la cour intérieure. Nadiane mit Valawna à l’écurie et sorti son épée de son fourreau. Ensuite, elle se dirigea vers la cour, un bon nombre de chevaliers et d’écuyers étaient en train de s’entraîner ou en train d’apprendre l’art de se battre à l’épée. A son passage certains chevaliers et écuyers la saluèrent, mais Nadiane n’y fit pas attention, car elle cherchait son maître. Un grand homme d’environ 40 ans, cheveux bruns, yeux de la même couleur s’avança dans sa direction, il dit :

-Bonjour Nadiane. J’espère que tu as retenu quelque chose de ta dernière leçon.

C’était son maître et c’était aussi la seule personne autorisée à l’appeler par son prénom. A sa remarque, Nadiane devint rouge comme une tomate, en effet, Nadiane était pour ainsi dire nulle en matière de combat à l’épée. Elle répondit en souriant:

-Il est en tout cas impossible que je n’aie rien appris, car j’étais déjà au plus bas en combat à l’épée.

En réalité, Nadiane apprenait relativement vite et en plus de ça, elle s’était entraînée pendant la semaine, elle avait dit ça pour ne pas paraître ridicule en cas d’échec et pour lui faire croire qu’il était toujours le meilleur.
Le cours commença. Nadiane prit son épée et le combat débuta, Nadiane était défavorisée, elle était plus petite, mais aussi plus légère, plus agile et plus souple, ça compense largement le fait que son maître était plus grand, plus fort et avait plus d’expérience. Nadiane se déchaîna, son maître s’en apercevait, elle sautait, courait, se défendait avec rage, à tel point que toutes les personnes présentes dans la cour arrêtèrent de se battre et regardèrent le combat. Nadiane sentit son cœur battre, la sueur de son front couler le long de son visage, enfin, elle désarma son maître et le combat se termina avec l’applaudissement des chevaliers.
Quelqu’un entra dans la cour, Nadiane s’écria :

-Robin, je me demandais où tu étais passé !

Aujourd'hui, dans son programe, Robin n'avait ni de leçons d'escrime, ni de tir à l'arc, ni de lutte, bref tout ce qui pouvait toucher au combat. Mais pourtant ce matin en se levant, Robin sentait qu'il ne pourrait pas subir ses cours journaliers d'écriture, de lecture, d'histoire, bref tout pour devenir la connaiscance infuse. Aujourd'hui, Robin avait besoin d'action, de bouger, de mouvement, de ne penser à rien. Il décidat alors de modifier son horaire. Il partit, accompagné de Caliban, et prit le chemin de la maison d'entraînement.

Les petites choses entraînent les grandes choses. Rien que cette petite modification de son horaire plongeat tout le palais en effervescence. Une catastrophe atomique. L'intendante du château poussa un cri a déchirer les tympans. Les maîtres protestèrent car leurs cours avait été reportés : ils s'était dérangés pour rien. Il y eu des protestations et des plaintes du côté des personnes qui avaient demandées audience au prince. L'organisation des gardes fut ébranlée. Les horaires durent-être changés. Une escorte dut être formée en vitesse pour pouvoir veiller a la sécuritée du prince. Puis leurs loyautés, leurs dévouements et leurs amours pour le prince fut fortement éprouvés lorsqu'on leur anonçât que Robin était partit sans les attendres et qu'il se trouvait à une cinquantaine de mètres d'altitude en direction dont on ne sais où.


Robin déambulait dans la maison d'entraînement. Il venait d'affronté plusieurs écuyers à l'épée. Il quittait maintenant une des cours où s'était dérouler l'entraînement de tir à l'arc. A présent, il s'apprêtait à s'entraîner avec son pégase.

Mais pour l'instant, il se promenait dans la maison en regardant les chevaliers et les écuyer s'affronter en combats singuliers. Ah qu'il aurait voulu devenir un chevalier. Il en rêvait. Tous les garçons rêvent un jour de devenir chevaliers. Participer à des expéditions, participer à des combats. D'être couvert d'honneur et de gloire. Mais pour Robin, pour lui, il ne pourrait jamais réaliser ce rêve. Il était, en quelque sorte, comdané à gouverné un empire divisé, dont il falait récupéré la moitié qui était sous l'emprise de son cher oncle.

Il débouchat dans une cour et là, il eut la surprise de rencontrer sa mère. En effet, il était rare de la voir ici. Elle lui dit qu'elle se demandait ou il était passé. En souriant dans son for intérieur, il lui répondit :

-Oh...je suis ici depuis un bon bout de temps, je crois.

-Dites moidit-il avec un sourire malicieux qu'il ne put empêcher de s'affiché,ne deviez vous pas rencontré ce noble dont le conseil vous a assuré qu'il ferait un bon parti ?

Fitz venait d integrer les rangs des espions de l empire d Elendil. Il tenait a se presenter personellement devant la reine et le prince. Un serviteur zele lui avait dit que la reine Nadia et le prince Obin se trouvait ici. C est pourquoi il venait.

Il etait assez impressioné de devoir rencontrer la reine, mais il ne voulait pas le montrer. C est pourquoi il marchait la tete droite, mais ses mains etaient moites.

Il entra dans l aire d entrainement et trouva et le prince et la reine proche et un homme d'un certaine age desarmé. La reine quand a elle tenait une epée. Cette situation semblait des plus intriguante. C est pourquoi Fitz accelera ses pas et porta ses mains sur les gardes de ses epées qui pendaient a leurs foureaux. Lorsqu il arriva devant les dirigeants du royaume d Elendil, il s inclina et baissa la tete pour montrer son respect.

Ma reine, Mon prince, permettez moi de me presentez, je me prenome Fitz.

Il gardais la position qu il avait pris devant les deux souverains. Il ne voulait pas parler devant autant de monde de son statut.

Nadiane se sentait toute joyeuse, ses efforts avaient été récompensés et elle avait battu son maître. Celui-ci s’était éloigné après avoir été désarmé. Peu à peu les chevaliers retournèrent à leurs activités. Robin lui parla du noble que le conseil voulait lui marier, un mauvais souvenir en fait. Pendant ce temps Nadiane se séchait le front mouillé de sueur, et rangeait son épée. Elle n’eut pas le temps de lui répondre qu’un homme avec de longs cheveux noirs, des yeux bleus et des vêtements assez sombres venait de la saluer. Le conseil lui avait annoncé qu’un nouvel espion venait d’être engagé. A son grand étonnement, il s’inclina, cela lui fit rire, car d’habitude les gens se contentaient de baissé la tête ou d’une salutation polie et bien formulée.
Nadiane lui répondit, toujours souriante :

-Bienvenu parmi nous Fitz, tu peux te relever tu sais. Quelle sorte de combat pratiques-tu ?

Nadiane voulait savoir s’ils pourraient s’affronter en un combat, elle se sentait en forme aujourd’hui et voulait savoir ce que valait leur nouvel espion.

Nadiane était prête à lui répondre lorsque un homme de taille moyenne, vêtu de vêtements sombres, ayant de longs cheveux noirs parcourut par quelques mèches argentées, vint les saluer et dit qu'il s'appelait Fitz.

Robin effectua un léger signe de tête en guise de salut vers Fitz. Sa mère demanda à Fitz quelle sorte de combat pratiquait-t'il.

Mais est-elle completement inconciente ? Elle n'a jamais vu cet homme, c'est peut-être un homme de Markhal. Elle ne va tout de même pas faire quelques passe d'arme avec cet homme...pensait Robin en son for interieur.

Mais Nadiane était lancée, elle était prête à défiée le premier venu, emportée par un de ses rares succès contre son maître d'armes, et voilà qu'elle demandait qu'elle sorte de combat pratiquait cet homme. Mais qu'est ce qu'elle comptait donc faire ? Robin la vit interogé l'homme du regard. Bon...elle tient vraiment à le savoir. Après tout, un peu d'exercice ne pourrait pas lui faire de mal. Mais si cet homme était un assassin envoyé par Markhal ? Si au cour de cette rencontre il tuait la reine d'Elendil...Mais ce serait une véritable tragedie. Markhal n'aurait qu'a montrer le bout de son nez et Elendil tombait, après tant d'année de lutte...

Robin la suppliait du regard de ne pas se lancer dans quelques passes avec cet homme mais Nadiane ne se préoccupait plus de savoir ce qu'il faisait. Elle avait les yeux fixés sur Fitz et semblait totalement indifférente à ce qu'il se passait autour d'elle.

Robin, alors, se résigna. Mais il mis tout de même la main sur la poignée de son épée, prêt à intervenir au moindre geste suspect de Fitz.

Fitz se releva et sourit a la proposition de la reine. Il regarda du coin de l oeil le comportement du prince qui lui semblait suspects, mais n en tient pas rigeur.

Et bien ma Reine, je pense savoir me servir de ses lames, meme si je prefere le corps a corps.

Apres avoir dit cela, il degaina lentement ses deux epées courtes et se mit en garde, legerement de coté pour laisser le moins de prise possible a la reine.

*Je dois la laisser gagner ? Bah on verra*

Il continuai de regarder le prince du coin de l oeil, il le sentait nerveux et cela ne lui convenait pas. Lorsqu il posa la main sur la garde de son epée, Fitz fit un signe pour que son loup qui se cachait dans les ombres n interviennent pas.

Permettez moi, mon Prince de vous dire, que je n ai aucune intention hostille envers votre mere, mais je pense que elle elle en a apres moi

Il avait dit cela d un ton detendu et avec un petit sourire.

Pret ma reine ?

Leonis s'entrainait non loin de la reine avec un autre soldat et surveillait ses mouvements par dessus l'epaule de son adversaire.
Il se supris à penser qu'elle ne se debrouillait pas si mal qu'il l'avait entendu dans les couloirs en tous cas contre son maitre d'arme car l'adversaire qui se proposait maintenant avait l'air d'etre un peu plus coriace que le precedent.

Leonis desarma son adversaire et le fit tomber à plat ventre avec un sourire victoirieux sur les levres. Il le releva et lui donna quelques conseils meme s'il savait qu'une fois sur le champs de bataille ils s'envoleraient au profit de l'instinct, de cette chose qu'on appellait adrénaline et parfois de la peur....Pour cet homme se serait surement le cas car il n'avait rien d'un guerrier. Apres quelques echanges il appris qu'il etait fils de boulanger mais avait la pretention de devenir un jour chevalier. Leonis loucha sur son torse plus que sur developpé et lui dit qu'il faudrai muscler cette graisse avant de pouvoir entré dans une armure.

Un autre adversaire se présenta à lui, il etait plus jeune et moins lourdeau. Son corps etait svelte mais ses bras etaient bardé de cicatrice. Témoignage d'un entrainement intesif. Leonis espera que ce combat aurait un peu plus de piment que le precedent. Il se mit en garde son cimeterre devant lui et para les attaques. Son adversaire etait rapide et se debrouillait bien mais son épée de mauvaise facture qui le pénalisait. Leonis le mis rapidement hors de combat d'un coup de coude dans le menton. Il le releva, alla chercher une épée dans sa reserve personnelle non loin de la et la tendit au jeune homme qui fit quelques mouvements avec avant de s'incliner devant Leonis. Il lui prodigua encore quelques conseils et l'entrainna vers un entrainement à mains nues. Leonis laissa son cimeterre pendre à sa ceinture dans son fourreau et fit face à son adversaire qui semblait destabiliser. En effet, il etait moitié moins large que Leonis mais plus souple bien que Leonis etait vif et agile.
Apres quelques parade de plus en plus impressionantes, Leonis pris le dessus bien que son eleve l'evitait facilement.
Le chef des chevaliers le fit tombé sur les fesses dans un nuage de poussiere qui surpris le jeune homme et fit rire le maitre.
Leonis lui tourna le dos, erreur, le gamin lui sauta sur les epaules. Le guerrir le plaqua au sol sous son poid...
- Désolé mon bonhomme mais tu as encore beaucoup à apprendre...Entraines toi!
Leonis se releva frottant ses vetements pour en oter la poussiere et le sable.
Il jeta un regard au jeune homme avant de s'incliner devant la reine et le prince et de faire un simple signe de tete au soldat en garde face à la reine.

-Puis-je me joindre à vous?

Nadiane entendit Robin remuer nerveusement à côté d'elle mais elle n'y fit pas attention. Toute son attention était maintenant fixée sur Fitz, tout en l'observant, elle établit une stratégie comme lui avait enseigné son maître. Elle regarda de chaque côté, à son grand regret, elle ne vit pas son maître, il était surement parti. Nadiane reprit son calme, se décontracta et se prépara au nouveau combat qui se préparait. Après ça, elle comptait essayer le nouvel arc qu'elle avait ramené des terres des Elfes. Nadiane préférait largement le tir à l'arc à l'épée, mais en tant que reine elle était obligée de connaître le maniement d'un maximum de combats différents. Encore heureux qu'elle apprenait vite.
La salle se remplit à une vitesse folle, de plus en plus de bruits de combats résonnèrent dans la petite cour intérieure. Nadiane vit d'autres personnes rentrer dans la salle.

*Tient, les gardes que j'ai semé ce matin sont enfin arrivés*

Elle ne put s'empêcher de rire, jusqu'à-ce que les gardes lui fassent signe de revenir d'urgence au chateau.

*Ai, que s'est il encore passé. J'espère que ce n'est pas denouveau le chef-coq qui a mit le feu à la cuisine.*

Nadiane dit avec regrets à Fitz:
-Je suis désolée, je doit malheureusement me retirer de ce combat. J'espère qu'on pourra remettre ça à plus tard.

Elle sourit brièvement et s'en alla, en même temps curieuse de ce qui c'était passé et triste de quitter le combat, chercher Valawna restée à l'écurie.Juste avant de se retirer, Nadiane entendit le chef des chevaliers lui adresser la parole, elle n'eut pas le temps de répondre, car elle était déjà repartie.
En chemin, les gardes lui expliquèrent la situation. Un drame était arrivé...

les appartements de Nadiane

Fitz inclina la tete en signe de respect et rengaina immediatement ses deux epées courtes. La reine semblait avoir avorté le combat pour une bonne raison. Cela inquieta Fitz, non qu il craignais quil arrive quelque chose a la reine, car avec l escorte qu elle avait, elle risquait difficilement une attaque ouverte.

Alors qu elle s en allait suivi de ses gardes du corps, un homme de haute sature et d'une musculature impossante se presenta a la reine, qui n eut pas le temps de repondre. Fitz l observa du coin de l oeil. Il avait deja vu ce visage, celui du chef des chevaliers. Il le salua comme le devait la coutume, mais sans aucune autre marques de respect. Avec son port de tete altier et sa facon de se tenir, il lui rappelait par trop de coté son pere. Il chassa ses pensées et fit signe a Nemesiase de s approcher.

Il s agenouilla devant le loup et le flatta derrier les oreilles. IL en profita pour chuchoté quelque chose a l oreille de son loup, qui parti dans la meme direction que la reine.

Il avait decidé de conaitre l origine du trouble qui venait de se passer. IL decida donc de se rendre a la meilleurs d information du palais : les cuisines. IL rendrait surement visite a quelques hommes chargés de l entretien du chateau. Ainsi, il esperait se faire des amis pour pouvoir apprendre plus vite les ragots.

Mon prince, mon seigneur, permettez moi de me retirer. Je ne me sens plus l ame a guerroyer. Si vous le permettez...

Il s inclina et jeta un dernier regard dedaigneu au chef des chevaliers.

Leonis ne répondit point au regard que lui avait adressé le guerrier maintenant disparu.
Il l’avait fixé lorsqu’il avait chuchoté quelques mots au loup sombre. Cette bête était maigre à faire peur et ses yeux étaient tout de même témoin d’une véritable allégeance envers son maître.
L’homme en question était fin et s’il n’avait pas été un allié il aurait pu être un assassin de Soras. En tous cas une chose était sur, en voyant sa garde, Leonis avait vite conclue deux choses : la discrétion faisait sa force et il ne fallait pas avoir à faire à lui pendant un combat.
Tout autour d'eux les bruits de fers s'entrechoquant régnaient, les conversations se faisaient rares et seul les cris poussés par les soldats au moment d'abattre leurs armes étaient seigneurs.
Des volutes de sables se soulevaient des pieds des jeunes soldats et même si les plus aguerris prenaient le dessus, les sables les gênaient.
Leonis ôta son regard, ordonna a un des jeunes personnes présente d’humidifier le sol.

Il se tourna de nouveau vers le prince. Quand il avait vu cet homme pour la première fois une seul chose l’avait attirer comme il attirait tous les gens autours de lui…ses yeux. Ce mauve si étrange dont il usait parfois pour arriver à ses fins...en tous cas c’est le jugement que c’était fait Leonis durant les années ou il l’avait vu grandir. Il avait suivi Robin depuis sa naissance et il était maintenant devenu un guerrier doué à la tache. Robin n’avait encore jamais tué mais Leonis savait que quand le jour viendrait il ne pourrait pas hésiter très longtemps. C’était ce qu’il espérait intérieurement.
Il pris la parole et une voix grave et sèche jaillit de sa bouche :

Qu’avez-vous l’intention de faire, mon prince, peut être vous entraîner ? Les exercices de poésie et de philosophie ne sont pas portés par votre cœur n’est ce pas ?

Il avait terminé sa phrase avec un grand sourire même si, malgré qu’il connaisse la géographie et l’histoire de royaume de Krynn, Leonis aurait aussi souhaiter subir ce type d’apprentissage.

Leonis leva les yeux au ciel, les nuages commencaient à former une masse gris sombre dans le ciel. Promesse d'une averse.
Il fit un signe de tete au prince puis continua:

Le temps se gâte et il me reste beaucoup de travail dans mes quartiers.
Au revoir mon prince. N'hésiter pas à m'appeler si les guerriers de Soras vous ennuis.

Leonis s'inclina legerement, tourna le dos au prince et quitta la cour d'entrainnement alors que quelques gouttes d'eau commencaient à se deposer sur le sol.