Chambre de Leonis Ourha

Leonis entra dans sa chambre.
C'etait une petite piece sombre d'apparance car seule la lumiere venait d'une petite fenetre et de la cheminée dans un coin de la piece.

Il s'y tenait un simple lit , un tapis rouge en servait de descente et seule son armure de guerre, celle de présentation et quelques armes servaient de decoration. Si tenté que ce genre de chose puissent servir à meubler une chambre.

Tout etait rangé, le lit etait fait. C'est sans doute à cet aspect la qu'on pouvait distinguer la chambre de Leonis à celle d'un chevalier ou pire, celle d'un simple soldat ou d'un ecuyer.

Murrpau, des son entrée alla s'allonger sur le tapis et Leonis s'ecroula sur son lit. Il etait fatigué et la journée n'etait pas encore terminée.

Il posa un main qui se perdit rapidemant dans la criniere de son ami et il enleva son armure de cuir.

Une vingtaines de minutes plus tard, il sentit quelque chose le lecher et...se reveilla en sursaut, les idées encore embrumées.
Il marmonna un:

Merci Murrpau

A peine intelligible. Il relaça son armure de cuir brun, enfila sa cape au couleur d'Elendil, se passa la main dans les cheveux. Il allait rencontré les plus hauts dirigeants du chacun des peuples et ne voulait en aucun cas faire mauvaise impression. Leonis rattacha son foureau à sa ceinture et sortie de la piece, Murrpau devant lui.


Salle de reunion

Il

Juste avant de quitter la salle du conseil, Robin avait entendu Leonis lui donner rendez-vous dans ses appartements. Mais que lui voulait-il ? Robin ne le savait pas trop et -en bonne partie à cause de sa curiosité- Robin avait pris le chemin des quartiers des chevaliers.

Mais malheureusement, Caliban n'était pas tout-à-fait d'accord. Il s'était couché au milieu du couloir blocant tout-à-fait celui-ci et provocant des embouteillages dans cette partie du palais. Robin essayait tant bien que mal de le lever et de le faire avancer -de déboucher le couloir en fait- mais rien n'y faisait. Et il était impossible pour Robin de partir sans Caliban car ils étaient tout les deux "lier". A cet instant, arriva la personne que Robin attendait le moin. L'intendante du château, une cravache à la main. En voyant l'expression de son pégase -toujours couché au milieu de couloir- Robin dut faire un effort surhumain pour maîtrisé son fou rire. L'intendante dit:

-Lève toi immédiatement ou tu recevra des coups de cravache, sale petit poney !

Caliban se leva, se détourna et partit au trot la tête haute, très vexé d'avoir été traité de "sale peit poney" car d'abord il n'était pas sale, bien au contraire il était d'un blanc immaculé, ensuite il n'était pas petit puisqu'il faisait dans le mètre nonante enfin, il n'était pas un poney mais un pégase. Il le démontra en décochant à Robin qui était mort de rire,un coup de sabot accompagnés d'un henissement d'indignation.

Quelque instant plus tard,arrivé devant la chambre de Leonis, Robin toqua à la porte et attendit, éspérant qu'on lui répondrait.

Murrpau tendit une oreille mais Leonis les yeux rivé sur la carte de l’empire n’avait pas entendu les quelques coups à la porte. Il avait en effet disposé cette large carte générale sur une table en bois sombre et plusieurs plus précises était à demi déroulé tout autour de pièce.
Leonis avait quitté son armure et avait enfilé des habits moins contraignants en toile sombres.
C’est quand Murrpau vint lui donner un coup dans les cuisses qu’il sorti de ses pensés pour entendre de petit coups porter sur le bois.
Il se hâta d’aller et ouvrir. Il se trouva face au Prince désolé de ne pas l’avoir entendu et dit d’une voix ferme :

Je vous attendais, Mon Prince et je m’excuse de vous avoir fait attendre et de vous accueillir dans un désordre comme celui la. Entrez !

Leonis était aller toutes les cartes dans la bibliothèque du royaumes il y avait déjà une heure de temps environ et cherchait le meilleur endroit de la frontière.
Il souhaitait la venu de Robin pour discuter du plan de surveillance, du nombre d’hommes à emmener en plus de ceux déjà sur les lieux mais aussi d’un problème plus grave.
Effectivement, les soldats en veille le long de la frontière voyaient leurs effectifs diminuer car beaucoup étaient assassinés sur leur tour de grades par des voyous, espions et la présence du prince et de lui-même aurait sans doute le mérite de redonner du morale aux troupes.

-Bonjour, dit Robin en entrant et en faisant signe à son pégase de resté dans le couloir.

Lorsque Robin pénétra dans la chambres de Leonis, il ne fut pas surpris de voir toutes ces cartes étalées sur la carte ansi que toutes ces lettres et autres papiers éparpillés dans la chambre. Mais en voyant tout ces préparatifs pour leur voyage, la décision que Robin avait prise cette nuit lui revint en tête. Il ne savait pas si Leonis avait envie de partir ou pas, mais de toute façon sa décision était prise.

-Leonis, je voulais vous dire que j'irais seul à Soras car si jamais durant le voyage nous nous faisions attaqués et que nous mourrons tous les deux, qui restera-t-il pour aidé Nadiane à préparé Elendil pour la guerre ? Il y a bien Tyrion mais je le vois mal mener les soldats aux combats. Donc vous resterez ici, à aidé ma mère. L'aidé mais aussi la protégé car je ne voudrais pas qu'il lui arrive quoi que ce soit.

Robin regarda Leonis, ésperant que celui-ci ait compris ce que Robin attendait de lui.

Murrpau s’étira dans un coin de la pièce et Leonis l’envia il n’avait beaucoup dormi tellement il pensait à cette expédition. Il avait dû se lever en pleine nuit pour commencer à griffonner quelques idées. Il écouta attentivement Robin puis dit :

J’avais prévu vingt hommes pour nous accompagner mais dans le cas ou vous partiriez seul, je doublerai cet effectif. Quant au fait que vous partez seul, je ne vous contredirais pas car les voyages forment la jeunesse et que mes hommes ont besoin de vous aussi. Mais votre mere sera decue dans le cas ou vous decedez entre les mains d’un sorassien…Enfin bon si c’est votre choix.

Leonis grommela, il etait decu de ne pas partir, mais c'etait la decision du prince et la comprenais parfaitement. Il deroula la carte sur laquelle etait inscrite la route à suivre et lui indiqua les differents points de relais qu'il devrai traverser obligatoirement. Leonis avait indiquer clairement les endroits à risque et avait fait la listes des hommes qui accompagneraient Le Prince et ajouta que se serait mieux qu'ils aillent ensemble les consulter afin de leur decrire leur mission. Quand quelqu’un frappa à la porte...

[Désolé du retard ^^"]


Robin vit avec soulagement Leonis accepté à contre coeur, mais accepter tout de même sa décision.

-Merci Leonis, dit simplement Robin.

Il suivit Leonis jusqu'au bureau où était étalé la carte et se prépara à écouté les instructions de Leonis concernant le voyage. Quand quelqu'un frappa à la porte...

-Je vais ouvrir, dit Robin.

C'était un garde qui avait frappé. Dès que Robin eut ouvert totalement la porte, celui-ci délivra son message:

-Mon prince, fit le garde en s'inclinant légerement, la reine requiert votre présence ainsi que celle du chef des chevaliers dans ses appartements.

-Très bien, merci. Nous nous y rendons tout de suite. Leonis, vous venez ?



Appartements de Nadiane.