===>[Cachot]
Bien, elle n'avait pas peur du feu, les crises de Maara la surprendrais mais ça irait, le sang non plus, il vallait mieux pour elle au vu du fait que sa maitraisse reviendrais ensanglantée... Monter a cheval elle pourrais, parfait ainsi l'esclave pourrais la suivre au dehors et la chasse... ça c'était une questions pour s'amusée, un peux comme dire a n'importe qui: tu sais jouer au domino? ou a chat?
Les bas de Maara était sur, digne et pourtant félin, la démone était encore a demo couverte de sa cape glacée et seule le devant de son corp était visible. Elle réfléchissait a quelque chose, quoi? qui donc aurait pu le dire de toute façon? La succube semblait ailleur c'est tout. Enfin le couloir menant au chambre était visible. Posant une main sur sa hanche elle continua de son pas, ses mouvements suavent a présent firent se retourner deux hommes passant par la.
La belle produisait souvant se genre d'effet, appart bien sur a une personne. Tournant son regard vers la jeune femme elle murmura.
"As tu déja tuer un etre vivant de tes mains? Senti sa respiration suffucante, l'air lui manquer pendant que tu le regarde agoniser. il t'implore de ses yeux larmoyant et pourtant tu ne ressent rien, il aimerait te suplier, te demander pitier mais tes mains sert bien trop fort sa gorge. as tu déja fait cela?"
La jeune femme se retourna entirement, faisant virvoltée sa cape sans meme preter attention a la présence d'autre personne.
"Sans doute pas, tu me semble etre tout sauf une enfant de la guerre. Pour ma part c'est ce que je suis et je le resterai jusqu'as ma mort. Pour moi voila ce que représente les Ellendill... il sont ceux qui nous étouffent, nous prenne notre vie, notre ame et notre air. Mon pere a toujour été contre ses gens et ma mere en a épouser un contre son gré... il la battait et la traitait comme la pire des créature du monde juste parce qu'elle était impur. Si je te dégoute depart mon sang mélée alors soit, pense le mais que jamais tes yeux ne te trahisse, que jamais ta voix ne te trahisse et que jamais ta main ne tremble... "
La démone se retourna, ses yeux prédateurs a nouveau sur le qui vive et son sourir carnassier pres a mordre toute personne la contredisant... toute ou presque. Doucement ses pas reprirent, et de ses yeux félins elle chercha sa chambre.
"La peste soit de se chateau trop grand... jamais je ne m'y retrouverai..."
Jura t'elle en sa langue natal, en démoniaque.